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 Le banquet/bal du Fief; Une réalité

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Vaern
BoBosh
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeJeu 24 Jan 2013, 10:36 pm

Il va y avoir des PNJ Lantagnac, dont le père/beau-père de Guillaume et Gertrude pour qui veut se gâter Razz
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Vaern
BoBosh
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeLun 28 Jan 2013, 10:28 pm

Catherine et moi on travail fort pour créer un beau setting. J'espère sincèrement que vous y participerez le plus possible!
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Catherine (Marussia)
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Catherine (Marussia)


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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeMar 29 Jan 2013, 11:52 am

Citation :
Sinon, peut-être que Père Albert pourrait faire une apparition...

Voilà qui serait une excellente idée! Razz
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Vaern
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeMar 29 Jan 2013, 7:07 pm

Vos personnages accepteraient-ils de venir au banquet en tant que gardes/escorte pour des PNJs? Je cherche le moyen de pouvoir inclure le plus de personnes possible du Maillon pour le banquet.
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Gunthir
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeMar 29 Jan 2013, 8:51 pm

Bien c'est sûr que sur des ordres du commandant ou d'un sergent, Bjork pourrait bien se joindre à la fête haha

vu mon manque de budget et de temps pour me faire un costume spécialement pour l'occasion, je dirai que ce serait super!
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Fred
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Fred


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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeMer 30 Jan 2013, 8:45 am

Mon nouveau perso oui s'il y a quelqu'un de Galléon. Père Albert seulement s'il accompagne le prince d'Argyle Razz
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Elam
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeMer 30 Jan 2013, 11:27 am

Ça me parait envisageable oui, mais après c'est à chacun de voir ce qu'il souhaite faire.
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Vaern
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeMer 30 Jan 2013, 11:28 am

C'est pour permettre à plus que 4 d'entres vous de participer avec leur personnage.
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Liam
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeMer 30 Jan 2013, 3:31 pm

Ah oui, c'est déjà plus tentant, je n'ai ni le temps ni la motivation pour me créer un nouveau costume. Razz
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Vaern
BoBosh
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeJeu 31 Jan 2013, 12:31 am

Vous avez la priorité pour les PNJ! Ils ne seront présenté que samedi après le banquet de la Hanse.

PNJ du Fief

Duc Nikolaus Marniet
Rôle réservé à Mathieu Paquette

Dame Vänicité d'Asbrourg
Rôle réservé à Mélissa Trépanier

Chevaliers de l'Ordre Nouveau
Ordre de chevalerie que le duc a fondé afin de défendre ses terres et de renforcer le patriotisme. Il s’agit de la nouvelle cavalerie du Fief, portant haubert, plate et bouclier étincelants, et étendards prestigieux. Les titres à même l’Ordre sont : Écuyers, Ordo et Initiés.
Chaque futur chevalier de l’Ordre doit servir en tant qu’Écuyer pendant un an et ensuite passer ces rites : un jeûne de trois jours, une veillée d’armes et un entretien avec Nikolaus et un chapelain. Il reçoit ensuite le titre d’Ordo, chevalier de l’Ordre Nouveau, on lui remet un haubert, une épée, un bouclier et une lance. L’Ordo doit alors lui-même concevoir sa tunique, sa cotte d’arme et son blason personnel. Par la suite, il se fait remettre son cheval et participe à une parade avec les membres de l’Ordre, dans les villages avoisinants, afin que la population connaisse son nouveau défenseur. Il reçoit alors un petit fief d'haubert où il devra trouver ses vavasseurs. Il existe ensuite un stade supérieur, les Initiés, qui sont toujours au nombre de quatre, qui sont les dirigeant de l’Ordre et qui reçoivent un titre de noblesse, une armure complète de plates personnalisée et un bouclier argenté et poli reflétant leur pureté. Le Duc Nikolaus Marniet est le Commandeur Ultime de l’Ordre; tous doivent lui faire un serment de fidélité et doivent respecter le secret du confessionnal.

Ser Hector Waldner
Un des quatre Initiés de la chevalerie, Ser Waldner n'est généralement pas l'homme le plus festif qui soit. Cependant, le Duc insista pour qu'au moins un des Initiés soient présent. Ser Hector est un vétéran de nombreux conflits du Fief, son corps porte des marques et quelques douloureux souvenirs des diverses batailles. Plusieurs croient que son comportement taciturne et renfermé provient de son emprisonnement aux mains des Rakashans lors de la première invasion. Très peu bavard sur les sujets de la cour, il est cependant un stratège et guerrier aguerrit. Il profitera donc de la soirée pour voir les défenses que chaque famille a mises en place sur leur territoire respectif. Ser Waldner possède lui-même des terres, mais sa milice est défaillante. La recherche d'un nouveau maître d'arme, suite au décès du sien, Maître Armand, est nécessaire, et il pense que peut-être qu’un des ressortissant étranger a ce qu'il recherche. Malgré son air presque terrifiant du à son sérieux déconcertant, Ser Hector Waldner reste un homme très fier de lui-même, donc propre de sa personne, doté d’une confiance inébranlable en ses capacités militaires.
Mike Roux

Ser Vladimir de Montfrois
Ordo de l'Ordre Nouveau, Ser Vladimir est un homme d'une certaine expérience, sans être très âgé. Il est un des chevaliers les plus prometteurs du Fief. Plusieurs racontent qu'il est le cinquième Initié de par sa prestance naturelle et son influence politique grandissante. De Monfrois a fait un gros pari par le passé. Il a soutenu bec et ongles les soldats du Maillon, tout au long de leur exil, qui fut imposé pour manquement au devoir. Il a constamment martelé à ses supérieurs de redonner une chance à ces hommes du Fief. Il garde activement une correspondance avec ceux-ci et il semble se lier d'amitié avec leur nouveau commandant Enguerrand Danvers. Son fief d'haubert, quoi que modeste, est en expansion, et une petite troupe de miliciens l'habite. Ser Vladimir est également à la recherche d'hommes valeureux pour entraîner ses hommes. Cependant, depuis un certain événement confus survenu cet été, Ser de Montfrois porte des cicatrices sur le corps dont il n’a aucun souvenir. Sa dernière visite en Hyden serait potentiellement en cause et plusieurs y voient là un signe que le jeune coq aurait trouvé son maître dans ce village cosmopolite.

Vana Corporeus
Très jeune, cette faction est un rassemblement de pratiquants de l’ascèse, cherchant l’illumination par la perfection de l’être, de l’esprit et du corps. Fondé en 740 alors que l’annonce de l’édification de la cathédrale Saint-Khalaad était émise, Charmadas, moine combattant d’Usire, rassembla plusieurs fidèles et décida de les cloîtrer. En effet, ce chef spirituel cherchait la perfection physique et avait pour son dire que seuls les purs pourraient passer les premiers les portes de la cathédrale.
L’ordre monastique possède un modeste couvent où les membres s’entraînent sans relâche. Différents styles y sont enseignés, comme les arts martiaux mohitiens, shataïen et ceux du Bastion. Le Duc, touché par tant de piété, leur fournit plusieurs documents qu’il conservait depuis ses années au Bastion, qui provenaient entre autres des différentes caravanes ayant passé par là-bas. Lentement mais sûrement, les hommes et les quelques femmes travaillant leurs corps vers une forme d’élévation développèrent leur propre style.
Malheureusement pour Charmadas, la cathédrale fut d’abord prise par l’ennemi Rakashan, et ensuite remise aux hommes qui formèrent l’Armée du Pénitent. Le gourou spirituel dû donc changer ses plans et se concentrer à former ses élèves en un autre lieu avec plus de ferveur. Après tout, qui a besoin d’un si grand édifice, alors que leur petit couvent peut rayonner de mille feux : lorsque les extérieurs assisteront au premier tournoi et aux premières démonstrations qui se tiendront lors des prochaines célébrations du Fief, ils ne pourront que voir la grandeur de leur art.



Charmadas
Moine-guerrier de renom au Fief, il est le maître du monastère et il enseigne les divers arts de défense et d'attaque d'Illimune. Sage et contemplatif, il est l'exemple même de l'être détaché de la matière. Son esprit semble bien souvent ailleurs et il ne cherche pas à le cacher. Son art lui a apparement permis de devenir un être élevé et supérieur. Il est alors très surprenant de le voir parmi les convives. Des rumeurs prétendent qu’il serait présent au bal afin de courtiser les nobles et leur famille pour que l'un d'eux accepte d’être l'hôte d'une prestigieuse compétition qui ferait appel à toutes les écoles et tous les monastères du continent. Charmadas n'est ni un Armatus, ni un Spiritalitas; il possède son propre style de combat, que plusieurs lui envient, et il garde jalousement le secret de ses techniques. Malgré tout, il reste un homme approchable, sage, rationnel et parfois distant qui cherche à faire rayonner son art et à prouver à tous que ses disciples sont les meilleurs. Il veut aussi propager la fierté et la valeur du Fief, de même que sa culture grandissante.
David Piovensa

Alayenne
Spiritalitas tatouée et peinte, elle est une des rares femmes à avoir été capable de se hisser aussi haut dans la hiérarchie du monastère. Plusieurs la perçoivent comme la maîtresse de cette discipline. Gardant sa chevelure, contrairement à ses comparses masculins, elle rayonne par sa prestance et son attitude confiante, presque suffisante, et parfois même arrogante. Elle est la disciple la plus proche de la perfection spirituelle et physique. D'une nature très calme et zen, il ne faut cependant pas la défier ou la sous-estimer. Femme farouche, elle défend ardemment les capacités des femmes en ce monde. Elle accompagne au banquet maître Charmadas et compte bien utiliser cette rencontre pour prouver à tous ces nobles et bourgeois que sa discipline surréaliste et son entraînement la rend beaucoup plus riche et supérieure que le plus riche des rois. Elle cherchera des supports auprès des autres afin de gagner en popularité et pouvoir être la prima des jeux à venir. De cette façon, elle serait la championne en titre du Fief lors du tournois des maîtres.

Zoticus
Ils sont la garde personnelle de Nikolaus Marniet; portant un uniforme pourpre et noir, ils gardent le sanctuaire du Duc et la deuxième section de la Redoute. Ils manient l’épée à deux mains et l’arbalète de poing. Ils sont généralement en plastron argenté gravé des armoiries du Duc et porté par-dessus leur cotte d’armes, une cape carrelée pourpre et noir et un heaume recouvrant leur visage. Ils sont des combattants initiés à la magie cléricale.

Zakary Nikolaus Strom
Maître-Zoticus, il est le protecteur officiel du Duc et le responsable de la sécurité de la Redoute. Il est rare qu'autant d'étrangers soient admis en la demeure du Duc. Zakary est un stratège très calculateur, presque paranoïaque, ainsi il cherche à tout prévoir et à tout planifier. Il n'est pas rare que qu’il ait une dizaine de scénarios possibles pour un même événement. Étant en charge de la sécurité, lui et Charlène Du Ruisseau sont les seuls à avoir le droit de porter armes et armures, tout en respectant le décorum de la soirée mondaine. Plusieurs nobles et étrangers chercheront à rencontrer le duc et Zakary se fait un devoir de s'assurer que chaque entretien soit privé, et que le Duc ne soit pas dérangé au point que sa soirée soit gâchée. Fier et droit, il est à l'image d'une statue lorsqu'il est en devoir. Il a fait serment que rien ne troublera ce grand événement pour le Fief et s'assurera donc que les convives s'amusent, dans le calme et sans aucune anicroche.
Martin Piché

Charlène Du Ruisseau
On la surnomme l'ange du Duc. Cette jeune femme a été capable de se hisser au rang de seconde de Zakary. Son visage angélique et charmeur est très souvent caché par son heaume et les occasions de le faire voir sont rares. Malgré sa réputation de grande guerrière, elle reste une femme qui aime bien paraître. Elle s'occupera de la sécurité de la soirée, mais avec ses plus beaux atours. L'armure est optionnelle et elle compte bien profiter de cette soirée pour faire voir à toute la cour que la beauté et l’habileté guerrière peuvent aller main dans la main. Très fière de sa beauté, elle n'hésitera jamais à sourire à qui la regarde ainsi qu’à attirer l'attention. Après tout, si tous la regardent, ils ne commettront point de méfaits. Mais prenez garde, messieurs et mesdames, si quelqu’un ose l'offenser ou insinuer qu'elle n'est pas la plus charmante de la cour, son caractère d’acier fera savoir au goujat de quel bois elle se chauffe.
Justine B. Couture

Magistères
Ils sont des magiciens et des bardes travaillant sur des recherches arcaniques et le décryptage de vieux documents. Ils sont parmi les seuls à avoir accès à la bibliothèque privée de la Redoute, de même qu’aux quelques artefacts et reliques du Fief.

Grand Magistère Mulaussème
Homme d'un certain âge, Mulaussème est le grand magistère du Fief. Débordant de curiosité, il a une réputation d'ermite, toujours à scruter les plus anciens parchemins et livres de la Voûte des Murmures. Certains le disent magicien, d'autres barde, alors que d'autres, enfin, lui donnent un passé d'espion. Il est un des plus merveilleux mystères du Fief. Son savoir est légendaire dans la seigneurie et il semble tout connaître. Si un sujet lui échappe, il en prend bonne note et fera tout pour ajouter ce savoir à son grand répertoire. Il cherche à contacter les autres établissements de savoir et cette soirée, réunissant des émissaires de plusieurs seigneuries et nations, lui semblait le meilleur des moments pour prendre contact. Le savoir est le pouvoir, une devise des plus importantes pour Émilien Mulaussème.

Apprenti-Magistère Dulac
Vincent Dulac est un scribe quelque peu timide. Il accompagne généralement le Grand Magistère lors de ses sorties en publique. Il n'est point ambitieux et le grand public semble parfois l'intimider. Il est cependant dévoué au Grand Magistère et à l'art de la magie. Il cherche à cumuler le plus de sorts possible dans son grimoire. Il est le scribe attitré de la soirée, et si un papier doit être rédigé, ce sera de sa main, et quelle plume il a! Sa nature curieuse fait en sorte qu'il est très content de sa responsabilité, car cela lui permet d'être au courant de tous les traités et alliances signées. Plusieurs croient que c'est pour cela que Mulaussème l’apprécie autant, il est un informateur discret qui sait se faire oublier à cause de son apparence ordinaire et sa prestance des plus communes.

Sous-Intendant Vilbin
Maître de la carrière de pierre du Fief, Vilbin est un commerçant ayant fait ses débuts avec les magistères. Ses connaissances avancées en mathématique et en géologie ont fait de lui le candidat idéal pour cette entreprise. Très fier de son œuvre, il s'assure que les meilleures pierres vont aux diverses fortifications du Fief et aux projets de ses nobles. Fin renard pour le commerce, il cherche toujours de nouvelles opportunités et de nouveaux acheteurs pour sa pierre de qualité supérieure. Provenant d'origines des plus roturières, il se fait une gloire d'afficher son nouveau titre et ses responsabilités pour démontrer au monde entier qu'un simple fils d'homme du peuple peut monter à la cour s'il y met des efforts et du travail. Il n'hésitera jamais à raconter son histoire à qui voudra l'entendre et son attitude vantarde en amuse autant qu'en agace plusieurs.
Simon Laliberté

Le Blason Argenté
Guilde marchande du Fief Marniet, le Blason argenté est responsable de toutes les activités commerciales d'exportations et d'importations. Il est dit que le Blason fait également affaire dans le domaine de l'information avec ces Larvëus. Les Œils Argentés sont les marchands officiels de cette guilde alors que les Lames d'Argent en sont les protecteurs. Les plus imminents commerçants sont de cette guilde qui est l’épitomé de la réussite bourgeoise sans être un système familial. Il y a tout de même des familles dévoués à cette guilde qui vécut des bouleversements avec la condamnation de Nikolai Dmitrikjewisch Kondratieff et l'arrivée de son remplaçant Andros Gatti.

La famille Boisredon du Blason Argenté

Hubert Boisredon
Père de la famille Boisredon, Hubert est un honnête travailleur qui pendant des années travailla pour des vignobles étrangers. Il participa à la création de nombreuses recettes de vins et de spiritueux, mais jamais ne trouva satisfaction. Mais c'est en travaillant pour le Fief qu'il trouva son compte. Hubert est le maître-brasseur qui trouva la recette du divin nectar qu'est le Grand Marniet. Grâce à l'ingrédient exotique qu'est l'orange, et grâce à quelques tours provenant de ses années d'expériences, cet homme réussit à créer ce breuvage qui plaît aux plus fins des palais. Sa renommée court à travers tout le Fief, de même que dans la province d'Hyden où, pendant plusieurs années, la Compagnie du Bouc fit la promotion de son produit. Il est maintenant un homme riche qui a une brasserie des plus productives. Toujours à la recherche de nouveaux clients et de nouveaux marchés, Hubert, fin limier qu'il est, cherche toujours à être des grandes fêtes du Duc dans le but de rencontrer les nobles provinciaux et étrangers afin de créer de nouvelles routes commerciales et de trouver de nouveaux ingrédients pour un autre projet secret. Hubert est un homme fier de son travail et il bombe le torse à chaque fois que quelqu'un complimente l'alcool raffiné du Fief. Le Fief est en constante évolution et les derniers remous changèrent le commerce; Hubert doit donc s'adapter et trouver de nouveaux alliés. Sa richesse pourrait s'avérer nécessaire à de nombreuses familles et individus s'ils sont capables de charmer le brasseur et de lui offrir des projets ambitieux.

Matthew Boisredon
Fils aîné d'Hubert, Matthew est un homme élégant et très précieux. Le qualificatif de dandy lui colle très bien à la peau. Quelque peu frivole mais toujours très bien habillé, Matthew est l'exemple parfait de l'enfant gâté. Ayant eu une enfance difficile et pauvre, il ne cesse de se pavaner avec sa richesse nouvellement acquise. Il est l'héritier d'Hubert et sait que l'entreprise familiale sera entre ses mains un jour. Mais, pour le moment, il ne songe qu'à s'amuser et ses fréquentations ne sont pas toujours les meilleures. Matthew est également un trop grand amateur de l’œuvre de son père. Il n'est point rare de retrouver l'aîné Boisredon dans les tavernes, avec une damoiselle à son bras, prêcher par l'exemple et tester les nombreux produits familiaux. Cependant, personne n'ose l'arrêter à cause de son statut et de la renommée de sa famille. Le père Boisredon doit bien souvent passer derrière lui pour payer les pots cassés. En effet, Matthew croit être une fine lame et il cherche toujours à démontrer, avec sa canne-rapière, qu'il est aussi vif que l'éclair... contre des poulets, des choppes ou des bouteilles vides. Bravade de jeunesse et d'ivrognes, diront certains. Heureusement pour lui, personne n'a jamais accepté ses nombreuses provocations en duel, papa les payant grassement pour refuser. Peut-être trouvera-t-il un jour chaussure à son pied ou ce sera choppe sans fond.
Julien Latour-Magnan

Sylvio Boisredon
Deuxième fils d'Hubert, Sylvio est le malin de la famille. Petit futé, il aime tout savoir et il cherche à élargir son réseau de contact. N'étant point l'aîné, il travaille d'arrache-pied pour prouver à son père qu'il est utile à l'entreprise familiale. Habile de ses mains, il fait souvent des tours de passe-passe à qui veut bien le regarder. Sylvio est toujours à la recherche de secrets et d'informations croustillantes qui s'échangent bien sur le marché. Cependant, jamais il ne se va se salir les mains, il ne fait que collecter l'information. Il ne veut jamais déshonorer le nom de Boisredon, Matthew s'en occupe à lui seul. Ce que tous ignore est que Sylvio est passé maître dans l'art du déguisement et parcourt bien souvent les rues du faubourg de La Redoute et des terres environnantes pour sceller ses propres affaires. Il se cherche toujours de nouvelles identités à emprunter afin de voyager avec les nobles et les moins nantis. D'un caractère aventurier, il raffole des histoires des terres plus sauvages et des nombreux événements affligeant le secteur d'Hyden.
Vincent Latour-Magnan

Zéphyrine Boisredon
Tenancière de la brasserie, Zéphyrine est une femme charmante qui a le contact humain facile. Elle aide toujours son père à la brasserie et à la taverne de l'établissement. Vaillante à la tâche, elle ne recule devant aucun défi. Tête forte de la famille Boisredon, les commères s'amusent à dire que c'est elle qui aurait dû être née premier fils. Zéphyrine a peut-être un comportement de garçon manqué par moment, afin de chasser les badauds qui croient qu'une tavernière est une femme sans défense, mais au fond d'elle, elle rêve de la grande vie. De se sortir des vapeurs d'alcool, des longues journées de travail et de trouver le fameux prince charmant des livres d'aventures. Cependant, elle ne se berce point d'illusions, mais elle garde un œil ouvert et un tel banquet est le moment idéal pour démontrer à la cour qu’elle pourrait rapporter une bonne dot, sans compter qu'une femme de caractère comme elle saurait diriger une famille nobiliaire ou même une seigneurie complète si les Sybilles sont avec elle! En attendant, elle cherche à impressionner tout un chacun en étant la plus utile possible à sa famille et elle offre son appui à quiconque l'aidera à monter dans l'échelle sociale de la seigneurie.

Familles nobles et bourgeoises du Fief

La famille Faubournet
La famille Faubournet est une importante famille bourgeoise réputée pour sa richesse et sa foi aédonite inébranlable, qu’elle a prouvée à de multiples reprises par sa largesse sans limite envers les institutions religieuses du Fief Marniet. Simple ferveur spirituelle désintéressée? Bien que nul n’irait nier qu’Usire est bien présent dans le quotidien des Faubournet, les plus mesquins iraient par contre objecter que les dons répétés ont en réalité pour but d’attirer sur la famille l’attention du Duc Nikolaus Marniet, lui-même aédonite, afin qu’elle soit enfin élevée à la noblesse. Après tout, ils sont riches, ils ont une excellente réputation et ils œuvrent dans tous les secteurs d’activité de la seigneurie : ils seraient parfaitement en droit de s’attendre à recevoir une telle distinction. Mais on raconte à qui veut bien l’entendre qu’un jour Augustin Faubournet, le patriarche, s’est trouvé en présence du Duc, et que ce dernier lui aurait dit : « Faubournet, vous êtes l’image même de ce que ma seigneurie incarne. Toutefois, il vous manque un petit quelque chose – je ne saurais dire exactement quoi – pour compléter le beau tableau que votre famille m’offre ». Quel était ce petit détail? Nul ne saurait le dire, mais une chose est bien certaine, c’est qu’à partir de cet instant, tous les membres de la famille Faubournet furent mis à contribution pour rivaliser d’imagination afin de combler ce manque mystérieux.

Augustin Faubournet
Maître d’une affaire florissante dans le commerce de produits importés, Augustin Faubournet est un judicieux homme d’affaire qui a su investir aux bons endroits au bon moment, ce qui a eu pour résultat qu’aujourd’hui, on retrouve son nom tant dans l’exploitation agricole, que dans la distribution des produits et dans le système bancaire. C’est un homme jovial et pieux, dont le caractère, d’ordinaire égal, souffre parfois de colères mémorables, surtout lorsqu’il considère que sa femme ou sa fille ne font pas les efforts nécessaires pour que le Duc les remarque davantage. Jusqu’à présent, il avait lui-même misé sur l’exaltation du culte aédonite pour plaire au Duc, mais vu les derniers développements avec l’Alliance de Solèce et l’abandon de l’ordre de St-Khalaad, il se rend bien compte qu’il faisait fausse route. Il est usirien, certes, mais il se soucie surtout de ce que l’Histoire retiendra de lui, et l’Histoire ne retient souvent pas beaucoup de choses des simples bourgeois. Tout ce qu’il lui faudrait pour remédier à la situation, c’est ce titre de noblesse qui lui glisse entre les doigts.
Marc-Antoine P.-Cossette

Adèle Faubournet
Adèle Foubournet est la bourgeoise par excellence : bonne épouse, elle partage avec son mari le sens aigu de l’intérêt familial. Toutefois, les empressements de son mari auprès du Duc l’ont blasée, et en son for intérieur, elle est persuadée que c’est précisément ces agaçantes attentions, qui frisent le harcèlement, qui les ont disqualifiés aux yeux de Marniet. En tant que seigneur, pourrait-on vouloir dans son entourage proche d’un homme qui n’a pas la dignité de faire preuve d’un peu de détachement et de patience face à ses ambitions? Ainsi, Adèle tâche, en présence du Duc, de se montrer discrète, mais si élégante et digne qu’il ne puisse manquer de la remarquer. Elle déploie toutefois tout son charme auprès des favoris du Duc, persuadée qu’elle pourra mieux l’atteindre si tous ses proches parlent d’elle et de sa famille en termes élogieux. Bien sûr, cette attitude laisse croire à Augustin qu’elle ne prend pas la chose assez au sérieux, mais elle n’en a cure.

Victorine Faubournet
Victorine est une jeune fille qui vient d’entrer dans le monde, d’être présentée à la cour. Jusqu’à présent, elle n’a fait qu’une seule apparition dans le grand monde, et si elle s’est montrée timide au départ, cette réserve a vite laissé place à un surprenant caractère pétillant et spirituel. Elle s’est déjà distinguée dans l’art de la conversation par l’usage de mots d’esprit particulièrement piquants, dont un en particulier qui a fort déplu à la marquise de Colligny, mais qui lui a permis d’attirer l’attention de Monsieur le vicomte du Plessis de Ponroy, qui l’a présentée à son cercle restreint. Elle ne se préoccupe que très peu des calculs de ses parents pour le moment, toute absorbée par le monde passionnant et risqué qu’elle est entrain de découvrir.

La famille Teyssonière
La famille Teyssonière était l’une des plus riches et des plus prospères du Fief Marniet, et ce jusqu’en 742… À cette date fatidique, leur affaire tomba en ruine d’une façon si soudaine et si imprévisible qu’ils ne purent se relever. En effet, la famille Teyssonière tirait son succès du lien commercial privilégié qu’elle avait pu établir avec la communauté marchande d’Héodim. Or, en 742, Héodim (maintenant le Duché de l’Aurélius) aida Eseldorf à massacrer des représentants du Fief et à reprendre le contrôle de Pontcaric, ce qui entraîna la fureur de Nikolaus Marniet qui émit une loi restreignant très durement le commerce avec cette seigneurie. Si ça c’était limité à cela, la situation n’aurait pas été si grave. Il faut dire que les Teyssonière ne font pas beaucoup dans les scrupules, et qu’ils n’auraient vu aucun inconvénient à contourner la loi et à trouver les moyens nécessaires pour continuer leurs petites affaires. Toutefois, où l’histoire se corse, c’est que le Duc Lanfranc, suite à l’événement, se mit à affirmer avec force que les hautes sphères de pouvoir du Fief Marniet étaient infiltrées par des démonistes, ce qui eut pour effet de dissuader les héodois de continuer à commercer avec le Fief. À partir de ce moment, tout ce que les Teyssonière avaient construit s’effondra et le chef de la famille, Aubin Teyssonière, se suicida, abandonnant sa femme et ses enfants dans cette situation miséreuse. La seule chose qui les empêcha de sombrer totalement est une mince aide ponctuelle que Gustave Le Féron a décidé de leur verser. Ils sont dans une situation abominable de dépendance et ils entretiennent une relation d’amour-haine envers leur bienfaiteur, puisque ce dernier les aide certes à survivre, mais sans leur fournir assez pour sortir de leur misère, comme s’il avait quelque chose à gagner à les tenir à sa merci.

Éléonore Teyssonière
Ce qui définirait le mieux la veuve Teyssonière, c’est sans doute l’expression « revers de la vie ». Elle semble en être l’incarnation même. Après avoir connu une vie de faste dans une des plus belles demeures du Fief, elle a dû vendre les domaines familiaux et elle habite maintenant, avec ses trois enfants, dans une minuscule maison attenante à son ancien manoir, devant supporter l’extrême ironie de voir une autre famille déambuler avec vanité dans les luxueux jardins dont elle s’enorgueillissait auparavant. Elle s’est donc renfrognée dans l’amertume et son caractère jadis hautain est maintenant dominé par la rancune et la haine. Rancune et haine qui trouvent plusieurs cibles : les Aurélois, qui sont la cause de la déchéance des siens et du suicide de son mari, Gustave Le Féron, qui semble s’amuser de son désespoir en ne lui proposant rien de substantiel pour qu’elle puisse repartir en affaires, et même un peu Nikolaus Marniet lui-même, pour avoir abandonné les familles touchées par la rupture commerciale avec Héodim. Elle vient au banquet pour trouver d’autres investisseurs, car malgré sa situation peu resplendissante, son nom inspire encore le respect puisqu’il rappelle la grandeur qu’a pu atteindre sa famille alors qu’elle n’avait aucune fortune avant de se laisser en affaires pour la première fois.

Léonard Teyssonière
Fils aîné, Léonard se sent la responsabilité de redresser et de redorer la situation familiale. Ainsi, il est plus actif qu’une fourmi et il est arrivé à se faire connaître d’absolument tout le monde. Il ne lui reste plus qu’à trouver une façon de prouver qu’investir en sa faveur, ce n’est pas jeter ses royals par les fenêtres et qu’il a la capacité de multiplier les profits. Avenant et serviable, il est la coqueluche des dames de la haute, ce qui ne saurait tarder à porter ses fruits, tant qu’il ne fait pas de faux pas…

Phileas Teyssonière
Phileas a d’autres préoccupations que son frère. Plutôt que d’être tourné vers l’avenir, il vit dans le passé et il nourrit un fort désir de vengeance. Les Aurélois sont pour lui les seuls coupables de la déchéance dans laquelle il se trouve, et il veut trouver une façon de leur faire payer le tort qu’ils lui ont fait. Ainsi, il tente de repérer les esprits belliqueux qui possèdent quelques soldats et avec lesquels il pourrait organiser une expédition pour aller faire du trouble dans le Duché. Il a appris que certains nobles de l’Aurélius seraient présents au banquet. Pour lui, c’est l’occasion idéale de les observer, de les provoquer et de les insulter.

Bertille Teyssonière
Bertille Teyssonière s’est étrangement fait une raison, contrairement aux autres. Suite au deuil de son père, qu’elle aimait beaucoup, elle s’est surprise à penser que quand on possédait trop de choses, la peur de les perdre risquait de faire perdre… la raison! Ainsi, la vie modeste lui seyait, et elle nourrissait une reconnaissance sans borne envers Gustave Le Féron, si ce n’était pas quelque chose comme de l’amour. Mais elle n’en était pas totalement consciente, elle était encore si jeune. Pour le moment, elle voulait seulement être le plus agréable possible à leur bienfaiteur.

La famille du Plessis
Le vicomte du Plessis de Ponroy est le chef de cette famille au tronc amputé. Orphelin dès l’âge de quinze ans, Constantin du Plessis de Ponroy a repris très vite le titre familial de vicomte et toutes les responsabilités qui viennent avec cet honneur. Dès l’âge de dix-sept ans, il se maria avec une des filles du marquis de Lavallière qui se prénommait Eugénie, mais celle-ci mourut peu de temps après leur union, le laissant sans descendance. Il ne se remaria jamais malgré le fait qu’il n’ait engendré aucun héritier légitime. La succession au titre de vicomte du Plessis de Ponroy est jusqu’à présent promise à celui de ses jeunes cousins qui remportera sa faveur. Le vicomte et ses quatre acolytes sont toujours ensemble et sont surnommés « les enfants terribles de la Redoute ».

Constantin du Plessis de Ponroy
Devenu vicomte à quinze ans, donc, Constantin semble avoir toujours conservé son insouciance et sa défiance juvénile envers les lois et l’autorité. Il a maintenant vingt-quatre ans et il semble persuadé que les lois de ne s’appliquent pas aux personnages aussi haut-placés que les vicomtes. Farceur et cruel, Constantin se choisit périodiquement des victimes et déploie autour d’eux tout un appareil d’ingéniosité destiné à ruiner leur réputation si chèrement obtenue. Car malgré le fait qu’il passe le plus clair de son temps à s’amuser, son regard perçant analyse et juge durement les gens qui l’entourent, de sorte qu’il sait repérer les ridicules d’une personnalité et les exagérer de façon extrêmement gênante pour la cible. Rarement sérieux, Constantin offre le visage de l’éternelle jeunesse. Il rassemble autour de lui les plus incorrigibles jeunes gens, qui par ailleurs donneraient n’importe quoi pour faire partie de sa suite. Il fait du repérage pour choisir la crème de la crème. Il a une conscience aiguë du pouvoir qu’il possède, surtout sur ses cousins qui espèrent l’impressionner, et sur tous ceux qui souhaitent obtenir ses faveurs en général. Car non seulement il est très élevé dans la hiérarchie nobiliaire du Fief Marniet, mais en plus, il est sans conteste l’un des favoris de Nikolaus Marniet. Courtisé de toute part, il jouit au maximum de sa position et il n’hésite pas à échanger la moindre de ses faveurs contre des sommes exorbitantes ou des services disproportionnés vis-à-vis de la demande.
Simon Dumouchel

Damien du Plessis de Launay
Damien est un jeune homme plein d’ambition, très satisfait de sa propre personne et en général assez méprisant envers ceux qui occupent un rang inférieur au sien. Membre de l’une des plus nobles familles du Fief, cousin du vicomte du Plessis de Ponroy, officier reconnu et populaire, la vie est une épopée qui semble se jouer à sa propre intention. Damien pense naturellement être le favori de Constantin, avec lequel il s’entend comme larrons en foire, mais la seule ombre à son tableau, c’est qu’il sait son cousin changeant et sensible aux charmes des autres. Il ne voudrait surtout pas se faire détrôner par le premier venu. Ainsi, il rivalise d’imagination pour être toujours le plus drôle, le plus cinglant et le plus spirituel. Vu de l’extérieur, il a l’air de l’âme damnée du vicomte du Plessis de Ponroy.

Baptiste du Plessis de Mauroy
Baptiste est aussi un cousin de Constantin. D’un charme incontesté, il plaît par-dessus tout à son cousin parce qu’il fait des ravages dans la gente féminine. Briseur de réputations par excellence, la plupart des dames en ont peur, mais rares sont celles qui ne succombent pas à son charme. Ce n’est pas tant sa seule apparence physique que le fait qu’il dégage une telle force d’attraction que ses interlocuteurs, quels qu’ils soient, sont souvent totalement obnubilés par lui lorsqu’il parle. Baptiste est un jeune homme oisif qui vit dans l’instant présent. Il est bien certain qu’il aimerait hériter du titre de vicomte, mais peut-être un peu plus pour avoir le plaisir de le dérober au nez et à la barbe de son cousin Damien, que pour le titre en lui-même.

Estelle du Plessis de Mauroy
Estelle est dotée d’un caractère semblable à celui de son frère Baptiste, dans le sens où elle a beaucoup de charme naturel et qu’elle se satisfait pleinement de l’oisiveté de sa situation. Son père, par vengeance au sujet d’un coup particulièrement pendable qu’elle lui avait fait, l’avait mariée à un riche et vieux bourgeois en échange d’une importante somme d’argent. L’homme en question, qui en était à son troisième mariage, avait déjà légué ses affaires à son fils aîné. Malgré cette déchéance et ce désaveu, Estelle ne s’en ai pas laissé imposer. Elle eut tôt fait de mettre le vieillard à ses pieds, ainsi, il lui laisse faire absolument tout ce qu’elle veut et il lui permet de vivre dans un luxe choquant. Pourtant, la rumeur court qu’elle ne lui a jamais permis de la toucher. Elle passe donc son temps avec son frère et ses cousins à faire les quatre cent coups à la cour, alors que son invertébré de mari reste bien sagement loin de tout ça, dans la maison familiale, où elle ne retourne presque jamais.

Emma de Lavallière
Emma, surnommée Lavallière la guerrière, est la sœur de feu la vicomtesse Eugénie. Elle est l’une des nombreuses filles du marquis de Lavallière, mais sans conteste celle qui a su le plus se faire remarquer. Pendant plusieurs années, elle a accompagné son père dans ses campagnes militaires, majestueuse sur son destrier de guerre et dans son armure de plaques complète. Elle insufflait le courage aux troupes. Puis, elle revint à la cour et rencontra pour la première fois son beau-frère qui tomba sous le charme de son tempérament bouillant, spontané et franc. Constantin la convainquit d’abandonner l’acier pour revêtir les fastueuses robes qui conviennent aux soirées du Duc Marniet. Le marquis de Lavallière, constamment retenu sur ses terres pour veiller à la sécurité des frontières, ne vit pas d’un mauvais œil cette amitié nouvelle. Au contraire, il envoie ponctuellement des lettres à sa fille, dans lesquelles il lui conseille vivement de gagner le cœur de Constantin afin que ce dernier l’épouse. Si elle était sa femme légitime et qu’elle lui donnait un héritier, les relations entre les deux familles, qui s’étaient refroidies suite à la mort d’Eugénie, seraient plus fortes que jamais. Pour le moment, Emma ne sait que faire de cet avis mais elle devra prendre une décision bientôt.

Famille de Colligny
La famille de Colligny est la famille de cour typique. Chacun de ses membres y vit, pour ainsi dire. Et leur vie se résume à la cour. Les intrigues, les potins; la moindre petite rumeur alimente des jours et des jours de conversations passionnées. Le vieux marquis de Colligny était l’un des compères de Marniet à l’arrivée de ce dernier en Bélénos, d’où la position avantageuse dont jouit sa famille. Ils ont combattu côte à côte, et cela revêt une importance particulière aux yeux de Marniet, même si le vicomte du Plessis de Ponroy lui chuchote sans cesse à l’oreille qu’il ne peut supporter la plupart des jeunes Colligny. De fait, les enfants Colligny sont dissipés et frivoles, plutôt inutiles dans leur genre, mais ils mettent de la vie à la cour et cela, personne n’irait le leur enlever. Ainsi, Marniet les garde près de lui, pour son propre divertissement.

Abélard de Colligny
Le marquis Abélard de Colligny est le chef de la famille. Abélard est tout le contraire de ses enfants. C’est un homme austère et peu bavard, un véritable vétéran « qui en a vu d’autres ». Dans une discussion, ses interventions sont toujours d’une justesse implacable et nul doute que Marniet doit faire souvent appel à lui pour régler des questions stratégiques. Il inspire le respect à tous à la cour, et cette déférence s’étend par défaut à sa bruyante progéniture. D’un premier mariage d’amour avec une jeune femme nommée Laure, il eut un garçon nommé Aimé, mais Laure mourut en couche. De son second mariage avec une femme choisie par le Duc, il eut deux enfants : Almaric et Florie. Bien qu’il soit lui-même calme et digne, il n’en est pas de même de ses enfants. On prétend qu’il a manqué de rigueur et de discipline envers eux parce qu’il a toujours été accaparé par les questions militaires. Il est maintenant trop tard pour les remettre dans le droit chemin, et dans ses vieux jours, le marquis en conçoit bien de l’amertume. Il eut aimé que ses enfants deviennent aussi essentiels pour Nikolaus Marniet que lui-même l’a été.
Frédérick Clerson

Françoise de Colligny
Françoise est la seconde femme d’Abélard. Elle lui donna Almaric et Florie. Frivole et dissipée, elle traque le moindre ragot pour le colporter à qui veut bien l’entendre. Ce qui lui a permis d’épouser un marquis, c’est la dot impressionnante dont l’avait pourvu ses parents, des bourgeois qui voulaient briller aux yeux de Nikolaus Marniet. Ainsi elle fût donnée à Abélard et élevée au rang de marquise, sa dot allant renflouer les coffres destinés à la défense de la frontière. Pour elle, c’était un rêve de jeune fille réalisé contre toute attente, ainsi elle s’investit autant qu’elle peut dans la dynamique curiale, peu soucieuse de sauvegarder l’image de sobriété du nom Colligny. Sa seule déception est de ne pas avoir été la première femme, donnant le premier fils. Elle déplore un peu le fait que son Almaric ne soit que le second, et que ce ne soit pas à lui que reviendront les terres du marquis. Oh, ce n’est pas qu’elle n’aime pas Aimé, mais une mère reste une mère.

Aimé de Colligny
Aimé est le fils aîné et sans aucun doute la plus grande déception de son père, puisqu’il est le seul fruit du mariage de ce dernier avec sa première femme, qu’il avait épousé par amour, et qu’il lui ressemble si peu. Il est bien marri de cette situation, mais il trouve quand même que son père est trop sérieux. Ainsi, il reste constamment partagé entre le désir de l’affection paternelle et l’envie irrésistible de laisser libre cours à son extravagance naturelle. Les plaisirs de la cour sont un tel délice pour lui, qu’il retient au final plus de Françoise que d’Abélard. Il n’est aucunement conscient de la préférence de sa belle-mère pour son jeune frère, puisqu’il s’entend si bien avec lui. Il ne pourrait pas croire que qui que ce soit dans sa famille pourrait avoir de la rancune à l’égard de son statut de premier fils.

Almaric de Colligny
Almaric aime les honneurs, il aime être le centre de l’attention. Il rit fort et s’arrange toujours pour que le plus de monde possible soit témoin de ses plaisanteries. Il est une des cibles favorites du vicomte du Plessis de Ponroy, ce qui l’agace un peu. Toutefois, malgré tous les efforts de ce dernier, personne ne lui a encore tourné le dos, car il n’a pas son pareil pour alimenter une discussion avec plein de sujets croustillants, certes tous aussi inutiles les uns que les autres, mais néanmoins amusants. Il est très très excité par la soirée qui vient. Enfin, du nouveau! Quelque chose qui viendra briser la routine! Eh quoi! La cour accueillera des inconnus! Non seulement des nobliaux de tous les horizons, mais en plus, oh délice, des soldats provinciaux arrivant tout droit du bout du monde. Il s’agit du Maillon, bien sûr. Quel exotisme! Il a hâte de voir de quoi ils ont l’air et s’ils sauront se tenir dans une soirée aussi huppée que celles de Nikolaus Marniet. Ce bal, il pourra en parler pendant des semaines, voire des mois!
Billy Vinette

Florie de Colligny
Florie est la cadette de la famille. Elle suit à la perfection l’exemple de ses frères : la même extravagance, la même frivolité. Elle est d’un caractère joyeux et insouciant. Toutefois, elle s’invente périodiquement des passions qui la plonge dans une délicieuse mélancolie qu’elle se plaît bien à jouer aux yeux de tous, parce qu’à ces moments, les autres font preuve d’une prévenance polie à son égard. Sa dernière lubie était Damien du Plessis de Launay, le cousin du vicomte. Elle a cependant tellement exagéré à ce moment qu’elle s’est attirée à jamais les railleries des enfants terribles de la Redoute. Maintenant, elle tente par tous les moyens d’étouffer l’histoire. Elle caresse l’idée de s’éprendre d’un noble d’ailleurs, sur lequel elle pourrait soupirer sans danger.

*
Gustave Le Féron
Gustave Le Féron est un vieux garçon, un vieux bourgeois qui a connu ses heures de gloire il y a quelques années. Il ne s’est jamais marié parce que ses affaires l’ont entièrement absorbé et qu’il a assurément un rapport de dépendance face au travail. Puis, il fut enfin suffisamment riche et ses amis le convainquirent laborieusement qu’il était temps qu’il profite un peu de la vie et qu’il connaisse les délices de l’oisiveté après un si dur labeur. Il le fit. Après tout, c’est vrai qu’il se faisait vieux, et en plus, sa vue baissait. Il vendit toutes ses entreprises et commença sa retraite. Puis sa solitude le frappa de plein fouet. Oh, il avait des amis, mais ceux-ci avaient leur propre vie. Ce qui lui manquait cruellement, c’était une famille avec laquelle il aurait pu couler ses vieux jours dans une douillette quiétude. Or, il était seul, terriblement, douloureusement seul. Il se méfiait aussi des autres, parce que l’ampleur de sa fortune était de notoriété publique. Puis, un jour, alors qu’il marchait au hasard dans la ville, perdu dans ses pensées, il heurta une demoiselle qui tomba dans la boue sous le choc. Il reconnut la jeune Bertille Teyssonière, dont il savait la famille en grande difficulté depuis quelques années. Confus, il l’aida à se relever en se répandant en excuses et en promettant un dédommagement pour sa robe ruinée (qui par ailleurs était déjà passablement usée). La réaction humble et douce de la jeune fille, qui s’excusait elle-même, l’impressionna. Quelques jours plus tard, il alla rencontrer les Teyssonière, mais il fut déçu de constater que seule Bertille semblait être pourvue du meilleur caractère qui puisse exister. Par égard pour elle, il proposa quand même une petite allocation à la famille, attendant de voir si ses autres membres allaient tenter de vampiriser son argent avant de leur donner plus. Même s’il sentit une certaine avidité latente, ni Éléonore Teyssonière, ni ses fils ne lui demandèrent quoi que ce soit de plus. Il s’apprêtait à leur donner plus lorsqu’un événement fâcheux le contraint à changer d’avis.


La famille Lantagnac

Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Lantag11

Famille noble originaire de la province impériale du Rémas. Elle a des origines modestes de pêcheurs et de pomiculteurs, et elle fut anoblie suite à la campagne de Balon Lantagnac contre la troisième invasion de Mortis dans les années 500. Protégeant au mieux les habitants du Rémas, l'ancêtre Lantagnac permis à des milliers de vie d'être sauvées par le sacrifice de sa coterie et de sa propre vie en retenant pendant plus de douze jours une horde grandissante de créatures issues de la nécromancie.

Suite à la défaite de Mortis, l'Empire de Twyden reconnu le sacrifice des Lantagnac et offrit à Euron Lantagnac le titre de Vigie du Rémas. De fil en aiguille, la famille entière fut anoblie quelque deux générations plus tard. Famille de commerçants, ils prirent le contrôle de bien des bateaux de pêche et de marchandises transitant en direction de la Confédération Urdienne et d'Argyle lors des temps de paix. Leur noblesse resta modeste, car peu importe la pureté du sang bleu en Empire, la religion aura toujours le dessus.

Tout changea lors de l'invasion galléonite. Les galleux pillèrent, libérèrent et combattirent les forces impériales en sous-nombre dans les provinces du sud pour finalement remporter la victoire et fonder des années plus tard Terra Liberatis. Adhémar Lantagnac, l’actuel détenteur de la noblesse, et ses fils et filles furent chassés par les galléonites suite au sac de leurs vergers et la reprise de leurs terres par des chefs galléonites. Cherchant à protéger sa famille, il s'enfuit vers la province de Jovrine, cherchant à rejoindre l'Empire par la principauté d'Argyle.

Malheureusement, l'instabilité d'Argyle à cette époque rendit le tout beaucoup plus compliqué. Après avoir échappé à une tentative d'assassinat et avoir été accusé d'espionnage par les autorités Argylienne, Adhémar, après près de dix ans d’exil, fut envoyé vers le Bastion. Refusant de soumettre sa famille à un tel sort, il s'enfuit et grâce à ses quelques contacts restant, il alla chercher de faux papiers dans la cité franche de Lavakhnir, ce qui lui permit de rejoindre le Gehnnor Est.

Il fut cependant démasqué, le fameux contact l'ayant trahi et ayant averti les autorités impériales qu'un ancien noble du Rémas cherchait à s'infiltrer illégalement en Twyden. Encore une fois la famille Lantagnac fut accusée de trahison et d'espionnage. Adhémar permit à ses fils et à ses filles de s'enfuir avec leurs deux oncles, Eunor et Francis, ainsi qu’avec leur tante Eugénie, en restant derrière. Las de fuir, il laissa la justice de l'Empire faire son devoir, et sa tête se retrouva aux frontières de Terra Liberatis en guise d’avertissement à quiconque chercherait à aider Galléon dans sa croisade contre l'Aédon.

Il ne restait plus qu'une terre pour accueillir une telle famille, Bélénos. Eunor guida les pauvres survivants Lantagnac vers cette contrée de seigneuries. Lorsqu'ils arrivèrent en juin 745, les terres étaient chaotiques. Désirant s'installer dans une seigneurie aédonite, ils visitèrent d'abord Héodim qui, malheureusement, était en conflit ouvert contre Gudrun et les galleux. Ne désirant pas revivre l'horreur du Rémas, Eunor continua sa route. La Confédération d'Orion semblait accueillante mais, avec le retour du terrible Dagoth Xven et la guerre contre la Terre Promise, cette option fut écartée. Il ne restait qu'une seule avenue.

C'est ainsi qu'ils arrivèrent devant le Duc Marniet. Se prosternant devant celui-ci, Eunor raconta la terrible histoire de sa famille. Le duc, dans sa magnanimité, touché par cette preuve de volonté, décida de redorer le nom des Lantagnac. Il leur offrit quelques terres près de la frontière ouest de son territoire et permit à la famille de se rebâtir. Eunor Lantagnac fit donc serment de vassalité au Duc et proclama le Duc comme son seigneur. Le Duc demanda fidélité, et afin de sceller la destinée de leurs maisons respectives, fit promettre à Eunor de marier au moins un de ses enfants à l'un de ses futur fils ou fille. C'est ainsi que la famille Lantagnac était de retour en dans les grâces d'Usire. Elle cherche maintenant à retrouver des forces et à s'établir en Bélénos en tant que nouvelle lignée noble.

Eunor Lantagnac
Deuxième fils de Victor Lantagnac, Eunor accompagna son frère aîné jusqu'à son trépas. Le long exil fit de lui un homme approchant la cinquantaine très endurci. Étant devenu le protecteur de la famille, pour lui il était très normal d'hériter du titre de chef de famille, alors que plusieurs avaient en tête Suton. Eunor est très proche du Duc et cela lui a certainement permis d'obtenir son titre. Il est prêt à tout pour protéger sa famille des terreurs du monde. Depuis la fin de leur exil, il ne cesse de courtiser ses voisins; certains diront même qu’il manigance avec eux, afin de s'assurer de la pérennité de sa famille. Il est alors très normal pour plusieurs que celui-ci déshérite son fils aîné, Guillaume, lorsque celui-ci décida de se marier avec Gertrude, qui obtint alors le nom de Lantagnac. Il envoya son fils en exil en Hyden afin de le faire réfléchir, croyant que cet endroit malfamé le ferait maturé. En attendant, il garde leur premier fils, Alexandre, à peine âgé d'un an, croyant le protéger de la dégénérescence de ses parents. Eunor cherchera à garder les faveurs du Duc et s'il est capable de rehausser sa famille encore plus, il n'hésitera pas. Boisé-Profond sera leur. Son caractère ambitieux, pour ne pas dire hautain, lui donne un air austère et il semble s'être attiré les foudres des cousins-cousines Plessis qui travaillent également pour les faveurs du Duc.
Jimmy Chabot

Victoria Lantagnac
Épouse d'Eunor et mère de Dalianne et de Guillaume, Victoria est le portrait craché de la matrone familiale. Sévère et exigeante, elle rappelle toujours qu'elle est la Dame Lantagnac. Elle est sévère avec ses proches, s'assurant toujours que l'étiquette est respectée, que la famille Lantagnac a toujours une excellente réputation. Elle n'hésitera pas à tirer un récalcitrant par les oreilles si cela est nécessaire. Fille d'un riche marchand du Rémas, elle a le sens des affaires et agit bien souvent en tant que trésorière de la famille. Certains la diront radine et grippe-sous, mais les Lantagnac ont vécu dans la misère durant leur long périple et Victoria s'est promise que jamais plus ils n'auraient faim. Elle cherche toujours à épauler ses proches, tout en attirant le plus d'attention sur elle-même; après tout, c'est elle la femme du chef de la famille, elle a droit au premier rang. Malheureusement, elle vieillit et par moment elle lance des regards désapprobateurs sur la jeunesse « décadente » qui ne fait que montrer leurs atours et leur chair. La pomme est malheureusement tombée loin de l'arbre avec elle. Elle ne comprend pas que la devise des Lantagnac soit « La vérité dans la charité », alors que charité bien ordonnée commence par soi-même. Dès qu'ils seront au sommet, ils pourront se permettre de redonner aux moins fortunés, pas avant.
Jinny Mailhot

Suton Lantagnac
Fils aîné du défunt Adhémar, il était désigné pour succéder à celui-ci. Malheureusement, la vie en fit autrement et Suton, en tant que bon fils et usirien, décida qui si son oncle devait les diriger, de pars son âge plus avancé, ainsi soit-il. Suton est l'exemple même du chevalier errant. Chevaleresque, galant et surtout très charismatique, il n'hésite pas à être l'émissaire de la famille. La famille est quelque chose de très important pour lui. Depuis la mort de sa plus jeune fille, Ambre, morte de maladie, il ne cesse de vouloir améliorer le sort de sa petite famille. Peut-être s'il est capable d'obtenir le rang de Protecteur ou d'entrer parmi les prestigieux Chevaliers de l'Ordre Nouveau pourra-t-il leur offrir un meilleur lendemain. De plus, son fils aîné, Albert, âgé de seize ans doit se trouver un bon partie. Peut-être un mariage offrira-t-il de nouvelles avenues à la famille Lantagnac. Bon vivant et bon rieur, il cherche toujours à se faire connaître pour sa jovialité et son sens de l'honneur. Il croit que c'est ainsi que la famille grandira et que la lumière jaillira sur eux, les sortant des ténèbres des cauchemars des dernières années.

Francis Lantagnac
Frère d'Eunor et troisième fils de Victor, Francis est un homme en deuil. Son fils aîné, Kalenric Lantagnac, est mort cette année alors qu'il cherchait à aider la foi aédonite et le conseil d'Hyden. Sa femme a perdu le goût de vivre, et même s'il leur reste encore deux enfants, la voix mélodieuse et la plume de son fils lui manque. Francis vient avec réticence à ce bal, mais Eunor avait insisté. L'enterrement de Kalenric n'a pas encore eu lieu, faute de corps et faute de savoir quoi écrire dans le livre de la famille sur la cause de sa mort. Sachant que plusieurs nobles en provenance d'Hyden seront au banquet, il cherchera à savoir la vérité sur la mort de son aîné. De plus, il est à la recherche d'un virtuose qui pourra composer la chanson la plus joyeuse possible afin de ramener le sourire à sa femme Johanna. Peut-être une bonne nouvelle lui rendrait le sourire également, comme la nomination de Christopher ou le mariage de Cécilia dans une famille alliée. Peut-être que les Colligny pourraient faire un bon parti. Mais, pour cela, il doit collecter des ressources pour la dot, sans pénaliser sa famille, bien sûr.

Christopher Lantagnac
Personnage réservé à Francis de Ladurantaye
Christopher est le frère de Kalenric. Sa mort le troubla, mais ne changea point son objectif. Le savoir est le pouvoir et plus il en apprendra lors de cette soirée, plus il aura des jetons à échanger contre des faveurs et possiblement contre un titre. La mort de son frère ne fait que prouver une chose, c'est que c’est ce qu'on ignore qui nous tue.


Dernière édition par Le Duke le Mar 05 Fév 2013, 11:47 pm, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeJeu 31 Jan 2013, 10:46 am

Donc en gros si je saisis bien pour les gens du Maillon il y aurait possiblement ces représentants:
- Le commandant et ses 3 accompagnateurs
- Des soldats délégués aux escortes des PNJs.

Au passage, tu attends combien de personnes ?

Le tabard dont il a été fait cadeau au commandant, il s'agit d'un écuyer de l'ordre nouveau ? Est-ce que ça fait de lui un écuyer officiel ? Je pensais l'utiliser pour la soirée.
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeJeu 31 Jan 2013, 11:08 am

Non, c'est un tabard provenant de la section Hydenoise de la Garde Seigneuriale. C'est donc un tabard honorifique, comme quoi le commandant est reconnu être du qualibre de la Garde.

Oui, c'est les possibilités que vous avez avec vos personnages. Vous pouvez toujours jouer des PNJ aussi.

On croit être capable d'attirer 80 personnes. Mais, avoir plus on ne se plaindrait pas Razz
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Gunthir
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeJeu 31 Jan 2013, 11:30 am

comment ça marche si on veut se faire escorte ( Wink ) ?

Qui choisit qui escorte qui?
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeJeu 31 Jan 2013, 11:32 am

Il faut d'abord que le PNJ soit joué, après vous pouvez dire vos préférences pour les escortes. Si le PNJ n'est pas joué, vous ne pouvez pas venir avec votre personnage.
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeVen 01 Fév 2013, 12:46 pm

Donc, motiver des amis à jouer les PNJ pour que vous, vous puissiez jouer votre personnage!
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Fred
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeDim 03 Fév 2013, 2:13 pm

J'hésite entre Zakary Nikolaus Strom et Abélar de Coligny
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeDim 03 Fév 2013, 2:18 pm

Zakarie Nikolaus Strom a été réservé hier soir, malheureusement. Si tu tien au rôle, tu peux regarder avec Martin Pc, le frère à Chantal ou bien je te réserve Abélar de Coligny.
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeDim 03 Fév 2013, 2:27 pm

Les rôles de papa et maman ont été réservé. Je sens que Guillaume et Gertrude vont en baver avec ces deux là Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeDim 03 Fév 2013, 8:49 pm

Je peux réquisitionner une dame de compagnie? Si je me fie à la dernière fois, ça ne serait pas de trop... Justine serait intéressée à prendre ce rôle. (Je crois qu'elle veut se sauver de mon amour de l'architecture. Elle a rien de mal, mon amour de l'architecture...)
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeDim 03 Fév 2013, 10:43 pm

Bien sur, tu peux réquisitionner une dame de compagnie pour le rôle. Surtout que, veux, veux pas, Mathieu et toi serez très pris au courant de cette soirée.
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeDim 03 Fév 2013, 10:47 pm

Elle peut aussi jouer Charlène Du Ruisseau et te porter compagnie.
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Lazare
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeDim 03 Fév 2013, 10:55 pm

Manu pourrait faire le cireur de bottes à Marniet Razz
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeDim 03 Fév 2013, 11:01 pm

Ou l'apprenti-magistère Dulac!
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Fred
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeLun 04 Fév 2013, 11:02 am

D'acc, Réserve moi Abélard stp!
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitimeLun 04 Fév 2013, 11:18 am

Malheureusement je ne me souviens pas de ton nom au complet. Juste de Fred.
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MessageSujet: Re: Le banquet/bal du Fief; Une réalité   Le banquet/bal du Fief; Une réalité - Page 2 Icon_minitime

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